À quel point je m'ennuie de mon cochon d'Inde Wendy après presque 11 mois d'absence.
On le sait bien, notre animal de compagnie, c'est comme un membre de notre famille. Parfois, ce peut même devenir notre meilleur ami. Rien n'a d'égal le pouvoir magique qu'il détient pour consoler toutes nos peines ou nos colères. Notre animal ne nous juge pas, il ne voit pas nos problèmes, nos défauts et nos faiblesses. Notre animal est parfait. Pour moi, il s'agit d'un cochon d'Inde. Les circonstances durant lesquelles j'ai adopté Wendy étaient spéciales et je crois que c'est ce qui renforce tout l'amour que je lui porte.
J'ai adopté Wendy il y a maintenant trois ans, juste après une douloureuse rupture entre mon ancien meilleur ami et moi. Ce meilleur ami était toute ma vie et je croyais même à un certain moment que nous pourrions même former un couple. De fil en aiguille, notre relation s'est complexifiée et est devenue tout simplement impraticable. C'est alors que j'ai fait le choix de le repousser à jamais de ma vie, sans vraiment le vouloir. J'avais rejeté la meilleure personne que j'avais connue et avec qui j'avais vécu les plus merveilleuses aventures de mon adolescence sur un coup de tête, à force de trop souffrir d'une relation entre deux : amour et amitié.
Wendy a été mon rebound. Certains pourraient croire que j'ai utilisé un pauvre animal pour recueillir mes peines, mais il n'en est rien. Il est vrai qu'à certains moments Wendy a servi de mouchoir, mais je jure qu'elle appréciait mes câlins et les friandises que je lui offrais en compensation de ses efforts à me supporter.
J'ai immédiatement donné à Wendy tout l'amour que je ne voulais offrir à quiconque. Ce fut bon en un sens. Je défoulais mon amour sur un cochon d'Inde plutôt que sur des gens douteux qui ne l'auraient pas mérité et qui auraient profité de ma vulnérabilité. Wendy est vite devenue ma nouvelle meilleure amie en remplacement de celui que j'avais rejeté à mes dépends. Elle assumait son rôle en couinant le plus aigu possible.
Wendy a une personnalité spéciale. Elle devrait pouvoir vivre en compagnie d'autres cochons d'Inde, mais il n'en est rien: je ne crois pas que Wendy accepterait qui que ce soit d'autre que moi sur son territoire. Elle est capricieuse, n'aime pas certains fruits et veut toujours plus de foin. Wendy est tellement gourmande qu'elle est devenue obèse. Mais plus elle a de gras et plus j'ai de centimètres cubes à aimer (petite blague). Je lui ferai bientôt un régime en mars lorsque je viendrai la revoir au Québec.
Car oui, Wendy est demeurée au Québec chez mes parents et sous la protection de mon frère et de ma belle-soeur. C'était prévu que je ne pouvais apporter d'animaux au Yukon dans l'appartement que je louais. J'avais promis à ma famille que je trouverais une solution et que je finirais par la ramener dès mon retour de mon prochain voyage en terre québécoise. Cette solution est enfin arrivée et Wendy fera le voyage de retour dans l'avion en ma compagnie à la fin du mois de mars! J'ai si hâte de gâter cette boulette de poils et de renouer avec ses cuicui trop mignons que tous trouvent énervants.
Sans Wendy, j'ai sombré dans la dépression au Yukon et je me parlais seule beaucoup trop souvent. Ce ne serait peut-être pas arrivé si elle avait été là. Mon amie parfaite. Je regardais les vidéos d'elle sur mon cellulaire et ses photos qui prouvaient son côté superstar photogénique. Elle m'a beaucoup trop manquée, mon petit bébé.
J'ai adopté Wendy il y a maintenant trois ans, juste après une douloureuse rupture entre mon ancien meilleur ami et moi. Ce meilleur ami était toute ma vie et je croyais même à un certain moment que nous pourrions même former un couple. De fil en aiguille, notre relation s'est complexifiée et est devenue tout simplement impraticable. C'est alors que j'ai fait le choix de le repousser à jamais de ma vie, sans vraiment le vouloir. J'avais rejeté la meilleure personne que j'avais connue et avec qui j'avais vécu les plus merveilleuses aventures de mon adolescence sur un coup de tête, à force de trop souffrir d'une relation entre deux : amour et amitié.
Wendy a été mon rebound. Certains pourraient croire que j'ai utilisé un pauvre animal pour recueillir mes peines, mais il n'en est rien. Il est vrai qu'à certains moments Wendy a servi de mouchoir, mais je jure qu'elle appréciait mes câlins et les friandises que je lui offrais en compensation de ses efforts à me supporter.
J'ai immédiatement donné à Wendy tout l'amour que je ne voulais offrir à quiconque. Ce fut bon en un sens. Je défoulais mon amour sur un cochon d'Inde plutôt que sur des gens douteux qui ne l'auraient pas mérité et qui auraient profité de ma vulnérabilité. Wendy est vite devenue ma nouvelle meilleure amie en remplacement de celui que j'avais rejeté à mes dépends. Elle assumait son rôle en couinant le plus aigu possible.
Wendy a une personnalité spéciale. Elle devrait pouvoir vivre en compagnie d'autres cochons d'Inde, mais il n'en est rien: je ne crois pas que Wendy accepterait qui que ce soit d'autre que moi sur son territoire. Elle est capricieuse, n'aime pas certains fruits et veut toujours plus de foin. Wendy est tellement gourmande qu'elle est devenue obèse. Mais plus elle a de gras et plus j'ai de centimètres cubes à aimer (petite blague). Je lui ferai bientôt un régime en mars lorsque je viendrai la revoir au Québec.
Car oui, Wendy est demeurée au Québec chez mes parents et sous la protection de mon frère et de ma belle-soeur. C'était prévu que je ne pouvais apporter d'animaux au Yukon dans l'appartement que je louais. J'avais promis à ma famille que je trouverais une solution et que je finirais par la ramener dès mon retour de mon prochain voyage en terre québécoise. Cette solution est enfin arrivée et Wendy fera le voyage de retour dans l'avion en ma compagnie à la fin du mois de mars! J'ai si hâte de gâter cette boulette de poils et de renouer avec ses cuicui trop mignons que tous trouvent énervants.
Sans Wendy, j'ai sombré dans la dépression au Yukon et je me parlais seule beaucoup trop souvent. Ce ne serait peut-être pas arrivé si elle avait été là. Mon amie parfaite. Je regardais les vidéos d'elle sur mon cellulaire et ses photos qui prouvaient son côté superstar photogénique. Elle m'a beaucoup trop manquée, mon petit bébé.