Je vous parle de ma nouvelle passion : le tricot. Photos et astuces pour les intéressés !
Mémé est ma grand-mère maternelle. Elle est le cliché incarné d'une personne âgée et c'est ce qui la rend si intéressante. En côtoyant Mémé, on croirait à un personnage de comédie, mais il n'en est rien: Mémé est fidèle à elle-même.
Quand j'étais plus jeune, mes parents voyageaient beaucoup. Mémé venait donc nous garder mon frère et moi, et entretenait la maison. Puis, mes parents décidèrent un jour d'adopter un yorkshire, Gamine, et il fallut que Mémé vienne garder deux monstres et un chien pendant que mes parents partaient sur la fly. Même lorsque nous sommes devenus plus indépendants, Mémé venait quand même passer une à deux semaines à la maison pendant que mes parents étaient quelque part dans le sable.
Mémé avait plusieurs passions, notamment regarder ses émissions (les Feux de l'Amour!), faire des mots croisés, se concocter des petites soupes et des petits cafés, cuisiner des plats santé et réconfortants, sans oublier le tricot. La première fois que j'ai pris conscience des talents de Mémé au tricot, j'avais sept ans. Elle m'avait confectionné un super beau foulard avec de belles franges de ma couleur préférée. Mon frère aussi en avait eu un, très long et rouge. Je trouvais que Mémé avait beaucoup de talent et je voulais lui ressembler. Un jour, alors qu'elle nous gardait, elle m'apprit à tricoter mes premières mailles à l'endroit pour que je puisse à mon tour fabriquer des foulards. Je me suis alors mise à m'intéresser à l'artisanat sous toutes ses formes et je souhaitais créer tout et n'importe quoi. Je me rappelle avoir fabriqué un chandail à la machine à coudre et à la main quand j'avais huit ans, avoir créé un journal quotidien pour la famille que je distribuais avec une foule d'articles écrits à la main sous les portes de chambre, avoir lancé ma mini entreprise de fabrication de bijoux et avoir fini d'écrire mon premier roman à l'âge de douze ans. J'étais extrêmement créative et ça se voyait dans mon style vestimentaire très étrange et toutes ces coiffures bizarres que je me faisais. Néanmoins, créer était un moyen pour moi de m'exprimer et aussi, de faire quelques dollars.
J'avais délaissé le tricot pendant un bon moment de ma vie, jusqu'à ce que le Yukon refasse surgir en moi mon envie brûlante de me remettre à l'artisanat sous toutes ses formes. Je voulais apprendre plus que tout à me redécouvrir et à exprimer mes émotions par la créativité. Comme l'hiver approchait, je me suis dit que j'allais recommencer à tricoter, comme Mémé m'avait montré. Le plus étrange, c'est que lorsque j'ai acheté ma laine et mes aiguilles, je ne me souvenait plus vraiment des méthodes de base. C'était très loin dans ma mémoire. Par contre, dès que je m'installai dans mon salon pour débuter, mes doigts savaient comment faire et j'ai monté mes mailles moi-même et débuté le tricot à l'endroit. Je n'en revenais pas!
Je souhaitais y aller avec la création d'un article simple et utile que j'allais porter durant l'automne. J'ai alors tricoté un cache-cou jaune et entre-temps, j'y insérai des motifs. Je dois avouer que YouTube m'a été très utile pour m'y remettre et m'apprendre de nouvelles techniques et de nouveaux motifs. J'ai fait plusieurs erreurs au début, mais je continuais tout de même. Plus je tricotais d'articles, et plus je m'améliorais. Bien vite, je connaissais les techniques par coeur et je tricotais tellement que le soir, j'avais mal aux mains et je ne pouvais presque plus bouger mes doigts. J'avais donc redécouvert une passion qui faisait appel à ma nature créative! J'étais heureuse.
Je trouve que d'arriver à fabriquer ses propres vêtements s'avère très économique et aussi, très gratifiant. C'est amusant de recevoir des compliments sur ce qu'on porte et de répondre que c'est fait à la main. Tout est plus précieux aussi, surtout lorsqu'il s'agit d'offrir en cadeaux des articles qu'on a fabriqués. Pour Noël, j'offris à ma mère un foulard double épaisseur avec motifs que j'avais tricoté durant deux semaines, et j'offris un cache-cou rouge ainsi que des gants sans doigts pour mon frère. J'offrir un bandeau pour les oreilles à ma belle-soeur. J'étais heureuse de les voir les porter et je me disais que ces tricots étaient uniques. MEC aussi eut droit à des cadeaux faits à la main: je lui tricotai une tuque avec un beau pompon ainsi qu'un cache-cou pour qu'il puisse se garder au chaud lorsqu'il travaille dehors à -40 degrés Celsius. Plus tard en hiver, je lui tricotai une nouvelle tuque dont j'avais doublé la laine, parce qu'il faisait vraiment froid! Je me fabriquai entre-temps de nouveaux foulards, une tuque, des gants et aussi, des bas! Je ne pouvais tout simplement plus m'arrêter.
Consultez le diaporama photo pour voir mes créations. Je vous liste aussi quelques bonnes ressources plus bas pour vos projets futurs ou si vous souhaitez vous aussi vous lancer dans le tricot <3 !
Quand j'étais plus jeune, mes parents voyageaient beaucoup. Mémé venait donc nous garder mon frère et moi, et entretenait la maison. Puis, mes parents décidèrent un jour d'adopter un yorkshire, Gamine, et il fallut que Mémé vienne garder deux monstres et un chien pendant que mes parents partaient sur la fly. Même lorsque nous sommes devenus plus indépendants, Mémé venait quand même passer une à deux semaines à la maison pendant que mes parents étaient quelque part dans le sable.
Mémé avait plusieurs passions, notamment regarder ses émissions (les Feux de l'Amour!), faire des mots croisés, se concocter des petites soupes et des petits cafés, cuisiner des plats santé et réconfortants, sans oublier le tricot. La première fois que j'ai pris conscience des talents de Mémé au tricot, j'avais sept ans. Elle m'avait confectionné un super beau foulard avec de belles franges de ma couleur préférée. Mon frère aussi en avait eu un, très long et rouge. Je trouvais que Mémé avait beaucoup de talent et je voulais lui ressembler. Un jour, alors qu'elle nous gardait, elle m'apprit à tricoter mes premières mailles à l'endroit pour que je puisse à mon tour fabriquer des foulards. Je me suis alors mise à m'intéresser à l'artisanat sous toutes ses formes et je souhaitais créer tout et n'importe quoi. Je me rappelle avoir fabriqué un chandail à la machine à coudre et à la main quand j'avais huit ans, avoir créé un journal quotidien pour la famille que je distribuais avec une foule d'articles écrits à la main sous les portes de chambre, avoir lancé ma mini entreprise de fabrication de bijoux et avoir fini d'écrire mon premier roman à l'âge de douze ans. J'étais extrêmement créative et ça se voyait dans mon style vestimentaire très étrange et toutes ces coiffures bizarres que je me faisais. Néanmoins, créer était un moyen pour moi de m'exprimer et aussi, de faire quelques dollars.
J'avais délaissé le tricot pendant un bon moment de ma vie, jusqu'à ce que le Yukon refasse surgir en moi mon envie brûlante de me remettre à l'artisanat sous toutes ses formes. Je voulais apprendre plus que tout à me redécouvrir et à exprimer mes émotions par la créativité. Comme l'hiver approchait, je me suis dit que j'allais recommencer à tricoter, comme Mémé m'avait montré. Le plus étrange, c'est que lorsque j'ai acheté ma laine et mes aiguilles, je ne me souvenait plus vraiment des méthodes de base. C'était très loin dans ma mémoire. Par contre, dès que je m'installai dans mon salon pour débuter, mes doigts savaient comment faire et j'ai monté mes mailles moi-même et débuté le tricot à l'endroit. Je n'en revenais pas!
Je souhaitais y aller avec la création d'un article simple et utile que j'allais porter durant l'automne. J'ai alors tricoté un cache-cou jaune et entre-temps, j'y insérai des motifs. Je dois avouer que YouTube m'a été très utile pour m'y remettre et m'apprendre de nouvelles techniques et de nouveaux motifs. J'ai fait plusieurs erreurs au début, mais je continuais tout de même. Plus je tricotais d'articles, et plus je m'améliorais. Bien vite, je connaissais les techniques par coeur et je tricotais tellement que le soir, j'avais mal aux mains et je ne pouvais presque plus bouger mes doigts. J'avais donc redécouvert une passion qui faisait appel à ma nature créative! J'étais heureuse.
Je trouve que d'arriver à fabriquer ses propres vêtements s'avère très économique et aussi, très gratifiant. C'est amusant de recevoir des compliments sur ce qu'on porte et de répondre que c'est fait à la main. Tout est plus précieux aussi, surtout lorsqu'il s'agit d'offrir en cadeaux des articles qu'on a fabriqués. Pour Noël, j'offris à ma mère un foulard double épaisseur avec motifs que j'avais tricoté durant deux semaines, et j'offris un cache-cou rouge ainsi que des gants sans doigts pour mon frère. J'offrir un bandeau pour les oreilles à ma belle-soeur. J'étais heureuse de les voir les porter et je me disais que ces tricots étaient uniques. MEC aussi eut droit à des cadeaux faits à la main: je lui tricotai une tuque avec un beau pompon ainsi qu'un cache-cou pour qu'il puisse se garder au chaud lorsqu'il travaille dehors à -40 degrés Celsius. Plus tard en hiver, je lui tricotai une nouvelle tuque dont j'avais doublé la laine, parce qu'il faisait vraiment froid! Je me fabriquai entre-temps de nouveaux foulards, une tuque, des gants et aussi, des bas! Je ne pouvais tout simplement plus m'arrêter.
Consultez le diaporama photo pour voir mes créations. Je vous liste aussi quelques bonnes ressources plus bas pour vos projets futurs ou si vous souhaitez vous aussi vous lancer dans le tricot <3 !